Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/08/2009

EMPLOIS : L’ETE NOIR

LE PREMIER JOURNAL DU GROUPE DES ELUS COMMUNISTES D'EVRY VIENT DE PARAITRE. LE PREMIER ARTICLE QUI SERA DIFFUSE EGALEMENT DANS LE MAGAZINE MUNICIPAL EST CONSACRE A L'EMPLOI.

journal0001.jpgAprès Altis qui a annoncé plusieurs milliers de suppressions d’emplois sur notre région, cela a été au tour d’Accor (150), Avantis au Génopole, la Poste à Bondoufle (350).

Notre agglomération n’échappe pas à la dégradation générale de la situation de l’emploi dans notre pays qui compte plus de 4 millions de chômeurs (4000 à Evry), dont le plus fort taux se situe chez les jeunes au même moment où le gouvernement envisage de reculer le droit au départ à la retraite à plus de 70 ans.

Le fond du débat se situe là, M. Sarkozy et son gouvernement n’ont aucune volonté d’agir contre le chômage, bien au contraire ils l’encouragent et l’amplifient.

Ils suppriment par exemple des dizaines de milliers de postes dans la fonction publique, et particulièrement dans l’enseignement ce qui s’est traduit, dès cette année par une diminution de plus de 20 % du taux de remplacement des enseignants malades, en formation, ou en congé maternité, en laissant ainsi des dizaines de milliers d’enfants sans maître, tout cela d’ailleurs dans un silence médiatique étourdissant.

Lutter, agir contre la précarité, le chômage doit être la priorité des priorités. Nous ne pouvons pas construire une société, des familles, des vies, sur du sable même sans carbone.

Les communistes sont porteurs à ce sujet de plusieurs propositions dont l’objectif essentiel est de réorienter les profits financiers considérables vers les hommes, et construire ainsi des parcours professionnels pour tous sécurisés.

 

A Evry nous proposons aussi la mise en place à l’échelle de l’agglomération d’un conseil économique et social  (1) chargé de proposer des solutions pour remédier aux suppressions d’emplois annoncées.

Le droit pour tous à un emploi stable et bien rémunéré est fondamental. Nous ne lâcherons pas sur ce dossier pendant tout notre mandat électif.

 

(1)     Proposition reprise dans le programme municipal de la majorité, non encore réalisée

11:35 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : emplois, evry, élus communistes | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

28/01/2009

POUR LE 29, SOUTIEN DES ELUS COMMUNISTES

CACR.gifL’ensemble des élus du groupe Communiste, Alternative Citoyenne, Républicain, seront aux côtés des salariés, usagers et citoyens  qui répondront à l’appel de l’ensemble des organisations syndicales des secteurs du privé et du public, pour participer à une grande journée de grève et de manifestations le jeudi 29 janvier 2009.

 

Comme eux nous dirons haut et fort au gouvernement CA SUFFIT !!!

 

Ca suffit :

-         la casse des services publics 

-         l’asphyxie des services publics et des collectivités territoriales

-         l’angoisse du chômage

-         la chute libre du pouvoir d’achat, des retraites.

 

Dans ce contexte de crise économique, comme le disent l’ensemble des organisations syndicales,  il faut :

·       donner la priorité au maintien de l’emploi,

·       orienter la relance économique vers l’emploi et le pouvoir d’achat,

·       réduire les inégalités, préserver et  améliorer garanties collectives,

·       réglementer la sphère financière internationale.

 

Il faut donc un tout autre plan de relance et qui n’oublie pas de donner des moyens aux collectivités, qui assurent des responsabilités sociales et éducatives essentielles.

 

L’enjeu est aujourd’hui bien trop grave pour que le monde salarié se taise. Ce 29 janvier doit être le point de départ d’une prise de conscience collective de l’ensemble des salariés actifs et retraités du privé et du public, des chômeurs de ce pays, pour faire entendre leurs exigences face à la crise économique et aux politiques qui veulent leur en faire payer le prix.

 

Les salariés, et les usagers ne sont pas responsables de la crise, ce n’est pas à eux d’en subir les conséquences.

12:34 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : grève, actions, 29, élus communistes | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

18/10/2008

Les élus communistes veulent redonner aux citoyens le goût de la politique

elupcf.jpgMONTPELLIER (AFP) — André Chassaigne, député (PCF) du Puy-de-Dôme, a estimé vendredi à Montpellier que les élus communistes devaient être les initiateurs d'une nouvelle façon de faire de la politique afin de "redonner aux citoyens le goût de la chose publique".

"Il faut qu'on soit à la pointe pour donner du pouvoir au citoyen", a déclaré André Chassaigne, président de l'Association nationale des élus communistes et républicains, quelques heures avant l'ouverture de son congrès annuel, à Montpellier.

"Je n'emploie pas les mots +démocratie participative+ parce qu'ils ont été un peu galvaudés. Mais l'idée, c'est que nous devons être les initiateurs d'une nouvelle façon de faire de la politique : que chaque citoyen soit un acteur de la vie politique dans son ensemble, au quotidien", a dit M. Chassaigne.

"Il faut qu'on fasse la démonstration que notre marque de fabrique, c'est ça : faire évoluer les consciences et redonner le goût de la politique. Les gens sont écoeurés par la politique, il faut leur redonner le goût de la chose publique". "Là, on a quelque chose de révolutionnaire", a dit le député auvergnat, par ailleurs maire du village de Saint-Amant-Roche-Savine (531 habitants).

Jusqu'à dimanche, quelque 600 élus communistes et républicains doivent participer à des tables rondes, qui porteront notamment sur la dimension environnementale des politiques à conduire dans les collectivités et la coopération.

Autres points qui seront abordés au cours de ce congrès: l'intercommunalité - un sujet d'actualité alors que le débat sur la nécessité de réformer l'organisation de l'Administration territoriale a été relancé - et la fiscalité locale. "On se bat pour faire évoluer le pourtour de la taxe professionnelle en disant qu'on doit inclure les actifs financiers des entreprises", a dit M Chassaigne.

10:00 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : élus communistes | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

03/10/2008

CRISE FINANCIERE ET SITUATION DE LA BANQUE DEXIA

anecr.jpgDéclaration de l’ANECR :

La crise financière que nous subissons est le fruit du dogme « aucune entrave à la libre circulation des capitaux », qui a été imposé, par tous les moyens, au fil de ces deux dernières décennies. L’explosion du cancer financier à toutes les activités humaines et publiques, en est le résultat.

Depuis, l’obéissance absolue aux marchés financiers est la règle. Elle a exigé de faire main basse sur les finances et les politiques publiques, sur l’argent des besoins humains, du service public, sur toutes les richesses possibles des territoires.

Elle a exigé de casser tous les remparts financiers publics, d’étouffer ou briser les collectivités locales, identifiées comme obstacle majeur.

Ainsi un dispositif d’étranglement des collectivités locales, des services publics a été programmé, puis mis en œuvre. Aujourd’hui, il est à plein régime. Il est même devenu impératif pour permettre la « refondation du capitalisme ».

Ces dernières années, les lois de finances qui se succèdent sont révélatrices de cette volonté politique de briser toutes résistances des collectivités locales, de les contraindre à être les otages des politiques ultra libérales. Le projet de loi de finances 2009 va plus loin encore. Il pourrait porter comme sous-titre : « on achève bien les collectivités locales ».

C’est dans ce contexte où il faut sonner le tocsin pour la survie des collectivités locales, qu’apparaît en pleine lumière l’irresponsabilité des banques et les dérives du crédit financier.

Les collectivités locales ont l’expérience de ces dérives. Elles qui empruntent pour répondre aux besoins des hommes et des territoires et non pour spéculer et qui réalisent plus des deux tiers des investissements publics.

Depuis le début des années 2000, des produits sophistiqués ont pénétré le marché du crédit local. Ils représentent aujourd’hui le quart des emprunts réalisés par les collectivités locales. Ces prêts, alléchants au départ, s’avèrent extrêmement risqués et provoquent une fuite en avant par une très forte hausse de leurs taux. Les emprunts sont devenus difficiles à obtenir, parfois impossibles pour les collectivités dont les finances sont étranglées et les populations modestes.

L’annonce que l’Etat français a injecté trois milliards d’euros pour sauver DEXIA - la banque qui finance la moitié des collectivités locales, qui détient 42 % des parts de marché des produits sophistiqués - soulève des inquiétudes légitimes.

Le renflouement par les contribuables de la banque des « collectivités locales » exige la plus grande transparence et vérité sur la dérive de DEXIA.

En 1991, le Crédit Local de France est introduit en Bourse. En 1996, il s’allie avec le Crédit communal de Belgique pour constituer la banque DEXIA. Depuis, la banque a développé sa gestion d’actifs, d’assurances, de services aux investisseurs, des marchés de capitaux. Ce ne sont pas les collectivités locales qui l’ont mis dans le rouge. Le système bancaire en général, s’est drogué à la spéculation, DEXIA en a fait autant.

Si l’argent public sauve l’entreprise, des contreparties sont indispensables :

• En premier lieu, l’augmentation des taux d’intérêts des prêts entraînerait une explosion des impôts locaux et l’abandon pur et simple des projets utiles aux populations des collectivités et des territoires. Il faut donc des garanties sur le maintien des taux d’intérêts et rompre la spirale des prêts risqués.

• En second lieu, il est indispensable de protéger tous les intérêts des collectivités locales mais aussi hôpitaux et offices HLM qui utilisent les services de DEXIA.

• DEXIA doit être dans les faits et les actes 100 % publique. Rien ne sera réglé si elle continue de spéculer, même si la France dispose d’une minorité de blocage, soit 25 % du capital.

Enfin, le refus d’un débat parlementaire sur la crise financière est inacceptable. L’Assemblée nationale et le Sénat doivent pouvoir débattre de la crise financière, en analyser les causes et conséquences, entendre des propositions de mesures d’urgence engageant la France et l’Union européenne.

Montreuil, le 3 octobre 2008

l'Association Nationale des Elus Communistes et Républicains

23:27 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : élus communistes, crise, dexia | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

17/07/2008

« n’extradez pas Marina Petrella ! C’est une question de vie ou de mort ! »

jeudi 17 juillet 2008

marina.jpg"L’ex-brigadiste italienne est en danger de mort. C’est son médecin qui sonne l’alerte. Sous le coup d’une extradition prononcée par le Président Nicolas Sarkozy, cette mère de famille qui a refait sa vie en France et tiré un trait sur son passé depuis des années, se meurt.

La décision du président français remet en cause la parole de la France, donnée en son temps par François Mitterrand aux Italiens qui s’étaient engagés à renoncer à la violence. Revenir sur cet engagement, c’est les envoyer délibérément à la mort.

Marina Petrella doit être soignée de toute urgence dans un hôpital adapté. Son écrou doit être levé.

Telle est l’exigence que relaient depuis des mois élus et parlementaires communistes et républicains. L’Anecr s’associe pleinement à ce combat pour la dignité, l’humanité et le respect de la parole nationale.

L’Anecr en appelle au président de la république et invite élus et citoyens à participer ce soir à Paris, au rassemblement de Beaubourg."

13:30 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marina, élus communistes | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

04/02/2008

L’ENJEU DES ELECTIONS DE MARS

résister à la droite sanctionner Sarkozy

Les 9 et 16 mars prochain vont avoir lieu les élections municipales et cantonales.

02b42dfd92c928fb5857bcf21ea2275b.jpgIl s’agit de la première grande consultation populaire depuis la présidentielle et les législatives du printemps dernier. L’enjeu de ces élections, c’est d’abord les politiques qui seront menées dans les villes et les départements. Il s’agit de créer un maxi­mum d’espaces de résistance à la droite. À gauche, nous saurons agir pour donner accès à un logement pour tous et toutes. À droite, ils choisiront de construire ces gran­des résidences de standing où aucun salarié moyen ne peut se loger. À gauche, nous saurons faire confiance et aider l’interven­tion des citoyens en matière de démocratie participative, nous saurons encourager la vie associative, nous saurons donner corps à une solidarité entre tous les habitants de nos villes. À droite, ils sauront serrer la vis des associations locales et recouvrir nos villes de caméras de vidéosurveillance.

Dans leur programme, les communistes vont accorder une place centrale à la ques­tion de la coélaboration avec les citoyens. La démocratisation de la vie publique dépasse de loin la simple concertation pour aller vers la création de droits nou­veaux pour les citoyens. Ils vont Œuvrer pour une “ intercommunalité solidaire ”. Cela doit être un projet partagé, non imposé et démocratique. Elle doit être recentrée sur les activités véritablement communautaires et rester de la seule responsabilité des élus et des citoyens.

Les communistes seront aussi attentifs à la question des ressources des communes. La loi de finances pour 2008 va se traduire par une nouvelle baisse des dotations aux col­lectivités alors que les besoins et charges augmentent. Avec, à l’horizon 2009, la suppression pure et simple de la taxe pro­fessionnelle envisagée par Sarkozy. L’éco­nomie consomme des services et des infras­tructures, il est légitime qu’elle contribue. La finance y occupe une part importante, mais elle est aujourd’hui sous-fiscalisée. Il faut y remédier par la taxation des actifs financiers qui a donné lieu à une proposi­tion de loi des parlementaires communistes. Une idée qui fait son chemin.

L’enjeu de ces élections, c’est aussi de pou­voir exprimer, en grand, son opposition à Sarkozy, ce Robin des bois à l’envers, qui donne aux riches et pille les pauvres. Sarkozy veut faire de ces élections un test politique. Chiche ! Vous allez lui répondre comme il convient. En lui demandant d’agir enfin pour le pouvoir d’achat. En réclamant haut et fort l’abandon des fran­chises. En condamnant cette politique du mépris, cette politique de classe qui privilé­gie les arrangements entre amis de la jet set…

L’enjeu, enfin, c’est de se doter, avec les communistes, d’une gauche de combat, une gauche du courage, qui estime, par exem­ple, qu’il y a de l’argent dans ce pays, beaucoup d’argent. Mais qu’entre la Bourse et la vie, il faut choisir. Plutôt que la spéculation et les gâchis financiers, il faut choisir de rendre l’argent utile, pour le pouvoir d’achat, le service public, l’édu­cation, la santé.

Sur ces thèmes, les communistes vont porter le fer contre l’UMP et le MODEM. Ils mili­tent pour cela en faveur d’un large rassem­blement de toutes les forces et de toutes les énergies à gauche. Dans chaque ville, la gauche battra la droite en étant unie et bien décidée à porter un projet progressiste pour la vie locale. La ligne du PCF est claire. Elle est partagée, dans une majorité de villes, par l’ensemble de la gauche. Elle va permettre de lancer la dynamique dont la gauche a besoin. De lever l’espoir. Est-ce partout le cas ? Dans certaines villes, on voit des can­didats socialistes qui se tournent vers la droite et le MODEM. On peut lire dans la presse que le PS serait “tenté de partir à l’assaut des mairies communistes”. À se demander parfois qui, du PCF ou de l’UMP, est l’adversaire des socialistes des villes concernées. Au moment où chaque jour éclate une nouvelle mesure de régres­sion sociale, il faut savoir garder le cap, ne pas se laisser entraîner par le jeu des ambi­tions personnelles. L’intérêt commun est de travailler dans l’intelligence, de se concen­trer sur l’essentiel : tous ces hommes et ces femmes du peuple de gauche, leur vie, leur bonheur.

Plus généralement, dans tous les cantons, les communistes vont se présenter aux élec­teurs sous leur propre drapeau. Ils vont affirmer leurs valeurs comme la solidarité, l’égalité, la laïcité, la responsabilité, le res­pect, l’antiracisme, l’humanisme, l’interna­tionalisme et le pacifisme n

17:00 Publié dans ELUS COMMUNISTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Sarkozy, droite, élus communistes | |  Imprimer |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook | | Pin it!

17/03/2007

APPEL AU SURSAUT

medium_buffetfabien1.2.jpgFrance :Buffet dépose ses "900" signatures et appelle à "un sursaut à gauche"

Marie-George Buffet, candidate communiste à la présidentielle, a annoncé avoir déposé "900" parrainages pour sa candidature, et appelé à "un sursaut à gauche", vendredi à sa sortie du Conseil constitutionnel.

"C’est une étape importante d’avoir déposé ma candidature", a-t-elle déclaré après avoir apporté au Conseil ses dernières signatures. "Il n’y avait pas de risque" qu’elle ne soit pas candidate, a-t-elle toutefois reconnu, le PCF disposant de nombreux élus.

A sa sortie, Mme Buffet a prononcé solennellement devant une nuée de journalistes "une adresse aux femmes et aux hommes de France pour un sursaut à gauche".

"Il y a danger", a-t-elle averti, estimant que "la droite de MM. Sarkozy et Bayrou menace d’être reconduite au pouvoir".

"La gauche ne parvient pas à incarner l’espoir d’un changement en grand dans la vie de nos concitoyens", a-t-elle déploré.

"La candidate qui semble susceptible de représenter toute la gauche au second tour ne propose pas à notre peuple un projet qui change vraiment la vie", a-t-elle jugé, sans nommer la socialiste Ségolène Royal. "Elle désoriente profondément le peuple de gauche", a dit Mme Buffet.

Selon la candidate PCF, "il est encore temps que dans sa diversité la gauche porte des propositions capables de la faire gagner, gouverner et réussir en répondant aux attentes et aux inquiétudes de notre peuple".

Assurant qu’"un véritable changement est possible", elle s’est dite "prête à relever le gant et à porter le flambeau de la gauche, d’une gauche de courage et de responsabilité, d’une gauche fidèle à ses valeurs et à ses combats".

Mme Buffet s’en est pris en outre au "soi-disant vote utile", estimant que "le vote utile c’est d’abord le vote utile à vous-mêmes, à votre famille, à vos proches, c’est le vote qui répond à vos attentes".

"Il est temps maintenant de voter pour vous", a-t-elle lancé, sous les applaudissements de quelques dizaines de ses partisans et de membres de son "conseil de campagne".

ARTICLE PUBLIE PAR L'HEBDOMADAIRE SENEGAL INFO